lundi 8 janvier 2018

No w0man No p0rn : le Director's Cut (2018)

Pour une fois, je vais être franc avec vous, c'est à dire avec moi, puisque je viens de recevoir mes papiers militaires pour partir à la guerre avant mercredi soir une lettre anonyme et pourtant toute simple de

Stephen JOURDAIN, écrivain français, 1931-2009

« Je suis le secret enfoui dans l'odeur de l'herbe fraîchement coupée, dans le houououhh du vent s'engouffrant dans le conduit de cheminée, dans les cent mille doigts de l'averse de neige, dans la nacre d'un matin de printemps, dans le message muet d'un alignement de marrons d'Inde, dans la déclivité de la plage et la danse des poux de sable ; je suis ce qui jadis vous rendit vivant, je fus l'instigateur de tous vos émerveillements, de tous vos étonnements, je suis l'unique raison pour laquelle quiconque, jamais, s'aima et aima, je suis le secret qui irrigua chacun de vos secrets d'enfant, je suis l'ange que tout enfant porte en filigrane et que vous avez tué. 
Je suis vous. »

donc, tout ce baratin fumeux qui fleure bon le new-age old fashion mais avec une touche de french touch, pour vous dire qu'au jour d’aujourd’hui d’hier,
il faisait un temps à faire du montage vidéo



et pourtant
j’aurais mieux fait de faire du bricolage
c’est décidé, demain j’essaye FCP X 10.4 au bureau
c’est moins dangereux
autant pour mes velléités de reprendre la guitare
mais c'est pas rave
je vais aller m'acheter un micro usb
et je ferai du Garage Band sans les mains

JW, le roi du cut

En ce qui concerne la compile, je ferai la pochette plus tard,
je suis au bureau
si vous croyez que j'ai que ça à faire...


http://www.mediafire.com/file/u0u8dwp8riy8261/2018_no-w0man-no-p0rn.zip




[Mercury Records Audiophile Deluxe Edition] 

 [Edit] 

Stephen Jourdain m'a appelé pour savoir où j'en étais avec la pochette.
J'avais complètement oublié.
La voici.


2 commentaires:

  1. Ci-mer pour ton blog.
    Une lectrice qui kiffe les blogs bien faits des autres.

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  2. De rien. Tu me changes de mon nouveau chat d'occasion, que nous avons prénommé Tartuffe, car il conjugue avidité et hypocrisie, on le suspecte de vivre dans au moins 3 maisons du quartier, il ne rentre que quand il a faim et ensuite il va s'écrouler près du radiateur, puis il disparait une bonne semaine.

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